Cela peut paraître ridicule, mais cette pratique est très puissante, et si tu ne l’as pas testé je t’invite à le faire pendant ce mois. La technique est simple, il suffit de regarder ton reflet dans le miroir, droit dans les yeux. Cela peut sembler bizarre et inconfortable les premières fois. Au fur et à mesure de la pratique, tu peux voir et ressentir un amour inconditionnel pour toi-même en plongeant dans ton regard, un amour pour tout ce que tu es, sans jugement, un amour pur et simple pour la vie elle-même. N’hésite pas à me partager ton retour si tu essayes. Mais qu’est-ce que l’amour de soi ? Également appelé amour propre, l’amour de soi est la manière dont on se perçoit et la valeur que l'on accorde à soi-même. C'est un aspect plus profond et plus durable de l'estime de soi. Il s'agit d'une acceptation inconditionnelle de soi, avec toutes ses imperfections. L'amour de soi va au-delà de la performance et repose sur un amour inconditionnel envers soi-même, indépendamment des réussites ou des échecs. “Le véritable amour de soi commence quand tu te donnes la permission d’être toi-même”, rappelle Eckhart Tolle. Pour accepter qui l’on est, nous devons apprendre à nous connaître. La connaissance de soi est un chemin qui mène à l’acceptation, à l’estime de soi et à l’amour de soi. Le plus beau dans tout cela, c’est qu’en me rapprochant de moi, je me rapproche de tous les êtres vivants. Car je peux reconnaître en chacun ce que je reconnais en moi. Comme le dit Rumi, “la blessure est l’endroit où la lumière entre en toi.” L’hiver invite à l’introspection et c’est le moment propice pour plonger en toi-même, découvrir ce qui te passionne réellement, embrasser ton authenticité, d’accepter tes imperfections et de t’aimer inconditionnellement. En résumé voici quelques conseils pour définir et cultiver l'amour de soi : Acceptation de soi : Apprendre à s’accepter tel que je suis, avec mes forces et mes faiblesses. L'amour de soi commence par l'acceptation de sa propre nature. Prendre soin de soi : J’accorde de l'importance à mon bien-être physique en adoptant des habitudes de vie saines, telles que l'alimentation équilibrée, l'exercice régulier et un sommeil suffisant. Auto-compassion : Je suis gentil avec moi-même. Je me traite avec la même compassion que j’offrirais à un ami face à des difficultés ou des erreurs. Définir des limites : j’apprends à dire non lorsque c'est nécessaire. J’établis des limites saines pour protéger mon énergie et mon bien-être émotionnel. Célébrer les succès : Je ne sous-estime pas mes réalisations, même les petites. Je prends le temps de célébrer mes succès, qu'ils soient grands ou petits. Pratiquer l'auto-réflexion : Je prends du temps pour me connaître et comprendre mes valeurs, mes besoins et mes aspirations. La médecine chinoise nous enseigne que l’hiver est lié aux reins, source de vitalité. Je t’invite à t’envelopper de ta chaleur intérieure cet hiver, à cultiver l’amour de soi en prenant soin de tes reins avec des repas chauds et nourrissants, des tisanes réconfortantes et des moments de méditation introspective. C’est en te nourrissant de cette manière que tu floriras et illumineras non seulement ta vie, mais aussi celles des autres. Avec amour, Emilie

Cela peut paraître ridicule, mais cette pratique est très puissante, et si tu ne l’as pas testé je t’invite à le faire pendant ce mois. La technique est simple, il suffit de regarder ton reflet dans le miroir, droit dans les yeux. Cela peut sembler bizarre et inconfortable les premières fois. Au fur et à mesure de la pratique, tu peux voir et ressentir un amour inconditionnel pour toi-même en plongeant dans ton regard, un amour pour tout ce que tu es, sans jugement, un amour pur et simple pour la vie elle-même. N’hésite pas à me partager ton retour si tu essayes. Mais qu’est-ce que l’amour de soi ? Également appelé amour propre, l’amour de soi est la manière dont on se perçoit et la valeur que l'on accorde à soi-même. C'est un aspect plus profond et plus durable de l'estime de soi. Il s'agit d'une acceptation inconditionnelle de soi, avec toutes ses imperfections. L'amour de soi va au-delà de la performance et repose sur un amour inconditionnel envers soi-même, indépendamment des réussites ou des échecs. “Le véritable amour de soi commence quand tu te donnes la permission d’être toi-même”, rappelle Eckhart Tolle. Pour accepter qui l’on est, nous devons apprendre à nous connaître. La connaissance de soi est un chemin qui mène à l’acceptation, à l’estime de soi et à l’amour de soi. Le plus beau dans tout cela, c’est qu’en me rapprochant de moi, je me rapproche de tous les êtres vivants. Car je peux reconnaître en chacun ce que je reconnais en moi. Comme le dit Rumi, “la blessure est l’endroit où la lumière entre en toi.” L’hiver invite à l’introspection et c’est le moment propice pour plonger en toi-même, découvrir ce qui te passionne réellement, embrasser ton authenticité, d’accepter tes imperfections et de t’aimer inconditionnellement. En résumé voici quelques conseils pour définir et cultiver l'amour de soi : Acceptation de soi : Apprendre à s’accepter tel que je suis, avec mes forces et mes faiblesses. L'amour de soi commence par l'acceptation de sa propre nature. Prendre soin de soi : J’accorde de l'importance à mon bien-être physique en adoptant des habitudes de vie saines, telles que l'alimentation équilibrée, l'exercice régulier et un sommeil suffisant. Auto-compassion : Je suis gentil avec moi-même. Je me traite avec la même compassion que j’offrirais à un ami face à des difficultés ou des erreurs. Définir des limites : j’apprends à dire non lorsque c'est nécessaire. J’établis des limites saines pour protéger mon énergie et mon bien-être émotionnel. Célébrer les succès : Je ne sous-estime pas mes réalisations, même les petites. Je prends le temps de célébrer mes succès, qu'ils soient grands ou petits. Pratiquer l'auto-réflexion : Je prends du temps pour me connaître et comprendre mes valeurs, mes besoins et mes aspirations. La médecine chinoise nous enseigne que l’hiver est lié aux reins, source de vitalité. Je t’invite à t’envelopper de ta chaleur intérieure cet hiver, à cultiver l’amour de soi en prenant soin de tes reins avec des repas chauds et nourrissants, des tisanes réconfortantes et des moments de méditation introspective. C’est en te nourrissant de cette manière que tu floriras et illumineras non seulement ta vie, mais aussi celles des autres. Avec amour, Emilie

Nous sommes entrés dans l’hiver avec le Solstice le 22 décembre, la période la plus yin de l’année, caractérisée par des phénomènes d’intériorité et d’involution. L’hiver est souvent associé à la mort, c’est la fin du cycle de l’année et la nature est endormie, certains animaux hibernent. Nous sommes également invités à suivre la nature, même si nous ne pouvons hiberner, en ralentissant et en se tournant vers l’intérieur. Cela signifie, limiter les activités en extérieur et passer plus de temps dans nos intérieurs douillets. Cela signifie également passer plus de temps avec soi-même : prendre le temps de méditer, de lire, de se reposer. Qu’est-ce qui te nourris de l’intérieur ? Qu’est-ce qui te réchauffe le cœur et ton centre ? Tu vas me dire que tu aimerais bien ralentir, mais que ta vie ne le permet pas, qu’il y a toujours beaucoup de travail, trop de choses à faire… Peut-être peux-tu après ta journée de travail prendre un moment pour toi, lire, cuisiner ? Le rangement peut sûrement attendre. Peut-être se coucher plus tôt, même 30 minutes ? Plus on se reposera pendant l’hiver, plus on aura d’énergie et de créativité au printemps, pour le début du nouveau cycle. J’aime beaucoup cette citation de Jon Kabat-Zinn, “La douceur n’est pas un luxe, mais une exigence capitale pour revenir à nos sens”. On peut se sentir fort, en contrôle lorsqu’on arrive à tout faire, à maintenir le rythme. Il y a toujours un moment dans l’année où je me sens fatiguée et que je me sens obligée de maintenir le rythme, de forcer pour arriver à faire tout ce que j’avais prévu. Je finis par tomber malade. Mon corps m’impose le repos quoiqu’il arrive. Mon challenge cette année est de réussir à m’écouter plus et à ralentir avant que mon corps soit épuisé. Malgré un programme de janvier bien chargé, je me garde du temps le week-end pour me reposer, cuisiner et quelques moments en semaine pour méditer et faire du sport pour recharger mes batteries. Janvier marque le début de l’année calendaire, c’est le bon moment pour planifier son année mais pas pour être dans l’action. On ne sème les graines qu’au printemps. C’est le moment de revenir au centre. “ C’est en effet dans cette zone (le ventre) que nous pouvons réellement nous poser, nous stabiliser, trouver la source de l’extension du corps vers le ciel et la terre. C’est dans le ventre que doit se placer notre centre de gravité. Pour les chinois et les japonais, le ventre est le siège de notre énergie vitale, de la force mais aussi de la conscience de vivre. “ - Isabelle Laading, Les cinq saisons de l’énergie Pour rayonner à l’extérieur quand on ira vers le yang, le feu doit être entretenu à l’intérieur en cette saison yin. Réchauffer le corps alors qu’il fait froid et venir stimuler les reins, qui sont les organes de la saison en médecine chinoise. Ils sont le fondement de notre équilibre physiologique, de notre vigueur physique et de notre force mentale. “Vous devez trouver ce qui déclenche une lumière en vous afin que vous puissiez à votre manière illuminer le monde” - Oprah Winfrey

“Si fruits et feuilles en tombant à l’automne ne font que suivre, sans état d’âme, un processus naturel, passant par l’âge mûr puis la mort, peut-être n’est-ce pas la valeur poétique de cette vision qui nous touche. Le temps passe, se déroule, les cycles s’enchaînent et nous entraînent dans le même processus de transformation. Un certain vague à l’âme peut nous envahir, des pensées nostalgiques et l’incontournable bilan de notre vie passée. Mais la vie est mouvement, changement, et cet “arrêt sur image” n’a pas lieu de se prolonger. Même en automne, expression d’une énergie crépusculaire, le soleil se lève tous les matins et nous aussi !” - Extrait des Cinq saisons de l’énergie d’Isabelle Laading

Pendant l’été, que nous travaillions ou pas, notre rythme ralenti et nous avons la place, et souvent l’envie, de faire certaines choses différemment. C’est l’occasion de perdre une habitude, comme ne plus regarder son téléphone dès le réveil, ou enlever ses notifications. Cela peut être aussi de prendre une nouvelle habitude comme commencer la journée par une activité physique, avec de la marche, de la natation, ou autre. C’est une période où j’accorde facilement plus de temps à ma pratique de yoga et où j’ai le plus d’idées créatives, car mon esprit à plus de temps et d’espace pour vagabonder. Cette année, j’ai décidé de continuer à m’accorder ce temps, et de le bloquer dans mon agenda. Alors vous serait-il possible de ne pas reprendre une habitude perdue, de la laisser partir pour de bon ? De profiter de l’espace que vous avez créer. Pourriez-vous également pour cette rentrée de garder une des habitudes acquises qui vous particulièrement nourrie cet été ? De l’intégrer à votre quotidien ? Quel impact ce changement aurait-il sur votre vie ?

Le yoga est pour moi une pratique qui va bien au-delà de l’exercice physique, c’est un outil de connaissance de soi. La connexion au corps permet de me rappeler ma nature profonde, que je fais partie d’un tout. Lorsque que je sens cette connexion, je me rapproche de mon cœur et de mon âme. Le yoga est un voyage en soi, une exploration de notre univers. Cette exploration n’est pas toujours agréable. Nous allons découvrir notre lumière mais également nos parts d’ombre. Comme le dit Jean-Paul Sartre : “plus claire la lumière, plus sombre l’obscurité. Il est impossible d’apprécier correctement la lumière sans connaître les ténèbres.” L’un ne va pas sans l’autre, ce qui fait que la connaissance de soi n’est pas toujours facile. Je crois également que, comme j’ai découvert grâce à cette citation de Nelson Mandela : “c’est notre lumière et non pas notre obscurité qui nous effraie le plus.” Ce chemin d’une vie apporte l’acceptation de soi et l’amour. Car au final, il n’y a que ça - l’amour. Merci de m’avoir lu, je partagerai prochainement des vidéos et les informations pour mon programme en ligne. J’espère vous retrouver bientôt pour de nouvelles aventures dans le monde réel ou virtuel. Je vous envoie plein d’amour.

J’ai toujours eu besoin de faire du sport, de bouger mon corps mais je n’avais jamais appris à m’observer et à mettre des mots sur mes ressentis. Enfant, je n’ai pas appris à reconnaitre les émotions qui me traversaient, à faire la différence entre émotions et sentiments, à comprendre ce qui se passait dans mon corps et à l’écouter. Je l’ai découvert bien plus tard et cette ouverture sur mon monde intérieur m’a bouleversée. Il m’a fallu quelques années pour refaire les connections entre mon mental et mon corps et apprendre tout un vocabulaire de sentiments. Le mouvement m’a toujours paru indispensable pour me sentir bien dans mon corps et dans ma tête, mais j’en étais restée là. Le yoga m’a ouvert la porte de ce monde intérieur, que j’avais ignoré jusque là. La pratique physique du yoga et la méditation me permettent de me connecter à mon corps et m’aide à ressentir ce qu’il se passe à l’intérieur. C’est seulement lors de ma première formation de yoga, que j’appris à répondre à cette simple question : Comment est-ce que je me sens ? Evidemment tout n’est pas agréable à ressentir et au début nous nous se focalisons surtout ce qui est désagréable, ce que nous avons voulu jusque là fuir ou ignorer. Tout ce que nous n’avons pas voulu ressentir remonte à la surface. Cela ne doit en aucun cas faire peur ou décourager, car la même porte donne accès aux ressentis agréables. Mais qu’est-ce une émotion ? Peur, joie, dégoût, tristesse, colère, surprise sont considérés comme les six émotions fondamentales, mais il n’existe aucune preuve empirique de l’existence d’un nombre limité d’émotions biologiquement déterminées. D’après le Larousse, une émotion est une réaction affective transitoire d'assez grande intensité, habituellement provoquée par une stimulation venue de l’environnement. Le mot émotion vient du latin exmovere : « ébranler » et de motio : « action de bouger ». Une émotion est brève, elle dure moins de 90 secondes. - Elle met notre corps en mouvement - C'est une réaction physiologique instantanée, un réflexe. - elle fait suite à un stimulus de notre environnement capté par nos 5 sens. - elle est générée par le cerveau limbique (ou cerveau émotionnel). - elle n'est pas raisonnée, elle n'obéit à aucune logique. - elle ne dure pas dans le temps. Les émotions sont utiles, elles sont un signal qui nous permet de réagir à un besoin qui n'est pas satisfait. Comme le définit Vanessa Beauverd, une émotion est donc une information que notre corps nous donne à travers le déclenchement de réactions physiologiques. Ces réactions sont jugées agréables ou désagréables. Les émotions sont universelles, similaires pour chacun de nous. La peur nous permet de fuir, d’attaquer ou de se figer (comme certains animaux qui font « le mort » pour échapper à leur prédateur). - La colère mobilise l’énergie nécessaire pour défendre son territoire. - La joie aide à créer du lien social. - La tristesse provoque l’empathie et permet de recréer le lien social perdu. Et les sentiments alors ? Le mot sentiment vient du latin sentire : « percevoir ». Nos sentiments sont des réactions à une représentation que l’on se fait de quelque chose. Ils expriment ce que l’on perçoit d’une situation et des pensées qui y sont associées. Les sentiments sont propres à chacun. En effet, face à une même situation, chaque personne éprouvera des sentiments différents. L’émotion ne dure que quelques secondes, ensuite ce sont nos pensées qui créent le sentiment qui lui peut persister. Un sentiment est un état affectif durable et complexe qui se situe au niveau au niveau mental (cortex) et non émotionnel (système limbique). C’est pourquoi nous pouvons gérer nos sentiments. Et plus que gérer, je dirais que nous pouvons choisir nos sentiments. Nous pouvons également gérer nos émotions, lorsque notre cortex préfrontal nous le permet. Les émotions sont donc momentanées et la représentation que l’on se fait de ce trouble d’un instant peut, vous mettre dans un état affectif durable : un sentiment. Ce sont nos pensées que nous n’arrivons pas à lâcher et non l’émotion qui persiste. Les sentiments dépendent de notre mental. Mais comment puis-je gérer mes sentiments ? Les sentiments nous permettent de savoir si nos besoins sont satisfaits (sentiment positif/agréable) ou insatisfaits (sentiment négatif/désagréable). Attention de ne pas confondre besoins et désires ! Pour reconnaître ce besoin, nous devons reconnaître le sentiment ressenti. Voici une liste non exhaustive de sentiments que vous pouvez télécharger. J’ai utilisé une liste similaire pendant plusieurs années afin de m’aider à mettre le bon mot sur mon ressenti. Je continue à faire l’exercice quotidiennement mais avec la pratique je n’ai presque plus besoin de la liste. J’ai pris l’habitude de faire un “check in” pour savoir comment je me sens quand je m’installe sur mon tapis de yoga. Je vous propose d’essayer cette courte pratique : 1) Installez vous dans un endroit calme, assis sur une chaise les pieds bien ancrés dans le sol, sur un coussin au sol ou allongé. 2) Prenez le temps de bien vous installez, fermez les yeux puis concentrez-vous sur votre souffle. Observez l’air qui rentre par les narines, passe par la gorge et arrive dans les poumons qui se remplissent en gonflant le ventre et la poitrine. L’air ressort des poumons, le ventre et la poitrine se dégonflent, passe par la gorge et sort par les narines ou la bouche. Juste observez ce cycle pendant 3 à 5 respirations. 3) Observer les sensations dans votre corps. Sentez-vous des tensions? Si oui où ? Que disent ses tensions ? Pouvez-vous les laisser partir avec chaque expire ? 4) Puis posez-vous la question : comment je me sens ? Attendez la réponse en continuant de respirer profondément. Quand le mot vous vient essayer de trouver le besoin associé à ce sentiment. Ce n’est pas grave si vous n’y arriver pas, continuer juste à respirer sans frustration, sans forcer. Si besoin référez vous à la liste de sentiments pour vous aider. 5) Faites confiance à votre intuition et laisser votre souffle vous guider. 6) Si vous le souhaitez vous pouvez faire une pratique de yoga ou de méditation ensuite, et peut-être choisir une intention pour choisir comment vous souhaitez vous sentir après la pratique ou pour votre journée. Vous pouvez choisir le sentiment que vous souhaitez ressentir. 7) Sinon, terminez simplement cette contemplation en vous remerciant pour ce temps que vous vous êtes accordé. Je vous invite à noter ce votre ressenti dans un carnet afin de pouvoir observer l’évolution de vos ressentis. Bonne pratique ! Sources Vanessa Beauverd - https://ecole-et-bienetre.com/ Article L’émotion - https://www.cairn.info/revue-devenir-2009-1-page-61.htm